Parfois le silence ne signifie pas forcément, à la façon de Beckett, qu’ « il n’y a rien à dire » mais plutôt qu’ « il y a beaucoup trop à dire ».
Orhan PAMUK (« D’autres couleurs »)
Parfois le silence ne signifie pas forcément, à la façon de Beckett, qu’ « il n’y a rien à dire » mais plutôt qu’ « il y a beaucoup trop à dire ».
Orhan PAMUK (« D’autres couleurs »)
Qu’ajouter de plus… Rien…
Une pensée très forte à méditer
Bonne soirée
Cela est vrai!
Parfois aussi, je ne parle pas car il y a trop d’émotions : je préfère me taire.
« »Parfois le silence ne signifie pas forcément, à la façon de Beckett, qu’ « il n’y a rien à dire » mais plutôt qu’ « il y a beaucoup trop à dire ».
Orhan PAMUK (« D’autres couleurs ») » »
Et :
Parfois parler et dire, ne signifie pas forcément, à la façon des scribes, qu´il n´y a rien à « silencer » mais plutôt qu´il y a beaucoup de silence à gagner; car le silence se gagne et se perd parfois aussi.
Le silence est pour moi l’un des signes qui montrent qu’on est vraiment proche de quelqu’un : on ne se sent pas obligé de parler, de « meubler » le silence.
Le silence représente aussi un besoin vital de plus en plus difficile à assouvir : les moments sans le son de la télé, de la radio, de la DS ou de la tablette numérique, sont trop rares à mon goût !
Nous sommes complètement d’accord avec vous : même si nous aimons la musique, nous avons envie de la choisir et non pas de subir, comme c’est le cas pratiquement partout, soit dans les endroits publics ou dans le magasins.
On ne pourrait pas mieux dire !
C’est bien pour cela que la phrase nous a tellement plu !
Tout a fait d’accord avec les 2 auteurs (!) mais j’aime beaucoup cette idee d’O.Pamuk. Je vais m’empresser de decouvrir ses lectures. Super votre site au fait!
Bonne découverte et merci pour le compliment !