Ça y est, c’est l’automne, nous venons de ranger nos habits d’été et après les premiers achats un peu timides pour atténuer la première petite fraicheur, on va vraiment se préoccuper de la mode d’hiver.
Mais nous avons un problème avec la mode :
Dans les magazines que nous feuilletons pour nous familiariser avec le look actuel, on nous parle de la mode de l’été prochain ! Nous ne sommes pas des pro, nous ne sommes pas des acheteurs qui vont à la fashion week ! Que l’on nous donne un petit aperçu des prochaines tendances, c’est super, mais pas pendant des pages et des pages. Nous on veut la mode d’été en été et la mode d’hiver en hiver ; c’est simple non ?
Donc, on aurait dû collectionner les revues de l’année dernière, les regarder en juin et acheter nos vêtement pour l’hiver en plein mois d’août : avez-vous déjà essayé des bottes par 30°C
ou un pantalon en flanelle ?
N’êtes-vous pas d’accord avec nous ?
non mais alors là je suis entièrement d’accord ! de toute façon certains magasines avec la mode, la beauté et les saisons ils sont complètement à côté de la plaque !
On est des vraies filles et on vit pas toutes selon la saison des fashion week c’est bien ça !
Et bien moi aussi je suis d’accord avec vous ! Je suis écoeurée de voir ces magazines remplis de dizaines de pages de pub de mode et en plus même pas pour la bonne saison !
@ Mme Beauté et Working Girl : décidément les magazines de mode devraient se remettre en question et penser davantage aux gens normaux !
Moi, c’est simple, je tourne les pages d’un oeil distrait me disant que d’ici l’été (ou l’hiver) j’aurais oublié les tendances … traduction : ces articles sont à côté de la plaque !
Mais comment pouvez-vous Mesdames et Mesdem…(ah xcuses, on n’y dit plus c’est vrai! ) supporter une telle épreuve: mode été/hiver …. et ce CHAQUE ANNEE. C’est trépignant non !
Conseil: Sapez vous comme il vous plait, quand il vous plait. Non au diktas des modelistes. Et en plus en période de crise, que d’économies aisément réalisables.
Mais bon, j’sais pas si j’vais étre entendu.