Le public est de plus en plus nombreux au fil des défilés, cette fois-ci plus de femmes jeunes (vraies ou fausses grâce au botox et à l’acide hyaluronique), plus d’hommes aussi – peut être attirés par le cocktail ?
Le conférencier a procédé à une petite révision du vocabulaire fashion : « en exclu », « workware », « la skieuse du bitume », « c’est une histoire de maille ». D’emblée il nous a asséné la nouveauté fondamentale : « être classique c’est hyperhype ».
Quoiqu’il en soit le verbe durer a complètement disparu de son vocabulaire au profit de perdurer et il paraît même que « ça perdure toujours »!!!
Qu’avons-nous appris ? Pas grand chose ! En vrac :
Les couleurs : bleu canard, moutarde, lie de vin, bordeaux (en total look), cognac seulement en accessoire.
Toujours le boyish : vestiaire masculin utilisé chez les femmes,
ou carrément la jupe sous le genou.
Petits manteaux, certains de toutes les couleurs, petites vestes des Seventies,
70ies revisitées, franges, pull shetland, ethnique.
De la fourrure pour une femme fatale, le côté liquide, cuir, latex, vernis, des effets de brillance, paillettes à porter la journée !!! Stilettos donc toujours des talons. Poor next door women de nous !
Bof, rien de bouleversant, d’extraordinaire ! D’autant que les mannequins réquisitionnées pour l’occasion ne font pas vraiment rêver !
Cocktail mal organisé : traiteur connu mais service trop lent, à 22h 30 nous sommes parties après une coupe de Champagne refusant de participer à la bataille des canapés bien trop rares !
Conclusion : mieux vaut aller consulter les blogs de mode de notre blogroll !
Au moins vous avez bu votre coupe de champagne …
C’est tout à fait ça !
La couleur moutarde seulement en accessoire? Pourquoi je vois des pantalons, manteaux… partout de cette couleur (ça me rappelle la fin des années 70, c’était très à la mode).
Oui, mais c’est le styliste Printemps qui le dit…
Nous on aime bien aussi; ceci dit au teint, ça n’arrange pas tout le monde !
La conclusion semble vraiment résumer la soirée; une soirée à oublier.
On re-essaiera pour le défilé au printemps…
Z’avez qu’à pas y aller
OK, mais on est quand même un peu fashion victim à l’occasion !